FICTION
POLITIQUE
STORY
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AU LUXE COMMUNAL - ARCHITECTURE
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Le café de Napoleon remplit plusieurs fonctions : estaminet, épicerie, cordonnerie, cinémas, cabaret, bibliothèque, musées. C’est un labyrinthe spatial et temporel qui relie des épisodes historiques disjoints, le passé au présent, l’histoire à la fiction, l’utopie à la dystopie.
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​VOICI COMMENT S'Y REPÉRER.
- Les images conduisent à l'entrée de chaque étage.
- Les liens entre guillemets rouges mènent aux sites annoncés.
LE CAFÉ-ÉPICERIE, où Napoléon Gaillard accueille les visiteurs-visiteuses.
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- Derrière le bar, la porte vers les salles des [barricades].
- La porte vers la [place Vendôme], désimpérialisée d'après William Morris.
- Au mur, les dessins de Gauthier conduisent à la [prison Mazas].
- Sur les tables du café, [discussions] entre acteurs et actrices de
la Commune.
- Sous l'estrade, le [débeurdinoir].
- Sous l'escalier, le [Kinétoscope] diffusera des documentaires sur la
Commune, et une trappe conduit vers les [souterrains], les 7 geôles de
Blanqui au château du Taureau.
- La [porte d’entrée] du café mène vers les extérieurs du café,
dystopique, utopique ou plus "réaliste".​
L'ATELIER DE CHAUSSURIER de Napoléon Gaillard.
- Son [Traité sur les chaussures en gutta-percha]. ​​
- Des [chaussures] permettent de "transplaner" vers d'autres espaces du site.
- La porte vers le [cinéma] proposera des films de fictions.​​​​​​​​​
- La porte qui mène à la [barge de haute mer] où le café se transforme
en Cabaret.
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L’ESCALIER menant au premier étage.
LA BIBLIOTHÈQUE dans laquelle seront conservés les documents d’archives iconographiques et textuels.
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Outre les livres et les archives, on accède ici aux :
- [projets réalisés de la Commune] : Principales mesures - Décrets, Arrêtés,
Ordres, Proclamations - Journal officiel - Partie non-officielle du J.O.
- [Contexte théorique et historique du Projet].​
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LE [MUSÉE DES INVENTIONS] réalisées par les protagonistes de la Commune de Paris.
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L'ESCALIER qui mène au deuxième étage. ​
PREMIER ÉTAGE -
​LES VITRINES DES PROJETS EXTRAPOLÉS
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Des caricatures, issues de la presse satirique, enfermées dans des vitrines, mènent aux [projets extrapolés] :
- [Thiers et l'hydre du socialisme],
- [rencontre entre Napoléon Gaillard et Marx],
- [jeu de massacre],
- [mise en orbite du Sacré-Coeur],
- [statistiques républicaines],
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Futures vitrines :
- [clavier d'Outre-rêve de Louise Michel],
- [élévation de pierres d'asile],
- [retitrage des tableaux de Courbet]...
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LES TROIS PORTES conduisent :
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- vers la salle du [gai rossignol et de la danse macabre], pour les morts
mal ensevelis de la Commune.
- vers la [roue de Thiers].
- vers le musée de la photographie :
- [salle de Braquehais et Disdéri],
- [salle Appert],
- [salle du jeu de Paris brûlé],
- [salle des livrets de Paris en ruine].
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[LA SALLE DU MAGICIEN DE VERSAILLES], inspirée du Magicien d'Oz de Lyman Frank Baum (1900).​
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L'ESCALIER vers la Hune.
LA HUNE - CHAMBRE À TRANSFORMATIONS
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Au troisième étage, à très grande hauteur, Napoléon dispose d'une chambre à transformation :
- des [Projets non-réalisés],
Courbet : colonne des peuples et Grue de la paix - Kropotkine : potagers à hauts-rendements - Horeau : Hôtel de ville en verre - Reclus : globe terrestre à Chaillot - Anonyme : monument aux Fédérés - Hugo : aministie plénière des communards - Legrand : projet de tableau - Frondat : remplacement de la colonne Vendôme.
- des [Communes d'ailleurs],
- Rojava, Kerala, Oackland, Chiapas, Nantes, Shanghaï, Notre-
Dame-des-Landes, Commune libre de Saint-Martin...
- Les "Communes de Paris" en Russie.
- [chambre-bestiaire de l'ennemi].
- Essai sur le [Luxe Communal]
Cette chambre mène également vers la [Bataille céleste des Astras et des Monstras], lors de laquelle naitront les constellations de la Commune de Paris.
La trappe du Kinetoscope (dans le café, sous l'escalier) mène vers les 7 geôles de Blanqui, liées au poème [Les sept vieillards] de Charles Baudelaire, que Walter Benjamin associa au texte rédigé par Blanqui pendant son emprisonnement, [L'éternité par les astres] . ​​​​
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La plateforme inférieure permettra l'évasion du visiteur et de Blanqui, en donnant accès à un radeau qui, guidé par les astres de Blanqui, les mènera à l'ile du 18 mars 1871, premier jour de la Commune de Paris (Blanqui fut arrêté par Thiers le 17 mars).